Les villes vivent de et sont également vécues au travers des métiers. L’article porte sur l’ethnographie de trois métiers de la ville : cuisiniers macrobiotiques, ouvriers typographes et tatoueurs «professionnels». Il propose d’explorer et de comparer la façon dont le corps assume le rôle de protagoniste. Les métiers appréhendés impliquent tous de la dextérité, de la participation, de la coordination et un développement différentiel des cinq sens.